Retranscription

La transition énergétique est une problématique majeure pour nous. D’abord pour notre propre transition énergétique puisque nous utilisons beaucoup de mètres carrés, 6 millions et demi de mètres carrés quand même, donc nous avons un parc immobilier considérable soit tertiaire, soit industriel, soit qui accueille le public.

Nous avons aussi une flotte considérable par exemple de 45 000 quatre roues et puis aussi de centaines de camions qui roulent pour nous tous les jours. Donc c’est bien sûr une problématique majeure.

Concernant l’électricité, nous avons décidé de passer intégralement en électricité verte. Nous avons d’ailleurs été, pour tout vous dire, agréablement impressionnés par le côté économique. Donc ce n’est pas du tout coûteux de passer en électricité verte, c’est quelque chose que bien entendu nous avons apprécié parce que l’écologie et l’économie doivent faire, dans nos entreprises, bon ménage.

Où nous avons une politique encore plus offensive et peut-être plus originale, c’est sur notre flotte. Nous avons beaucoup développé la flotte de véhicules électriques. Notamment, nous avons une flotte de 6500 quatre roues électriques. Nous nous développons maintenant sur les autres formes de véhicules.

Nous avons plus de 20 000 vélos électriques pour nos facteurs qui permettent de progressivement supprimer les scooters, les deux roues thermiques.

Nous avons aussi créé un trois roues électriques que nous appelons le « Stabi« , nom qui a été choisi par nos facteurs et qui montre qu’ils ont une certaine confiance au moins dans la stabilité de l’engin.

Et nous poursuivons actuellement des expériences notamment dans le Jura sur un programme de recherche européen sur des camions qui fonctionnent avec de l’hydrogène grâce à de l’hydrogène qui permet de régler le sujet de l’autonomie des batteries électriques qui restent encore un soucis pour les longs trajets. Voilà où nous en sommes pour nos propres besoins.