Retranscription
Bien sur nous sommes dans une économie de marché et donc tous les instruments de cette économie de marché doivent intégrer cette question du réchauffement climatique. Ce n’est pas que par de l’aide publique, que par de la subvention que nous allons réussir à financer la totalité de cette transition énergétique. D’où ma réflexion et d’où la réflexion que portent les acteurs y compris dans le cadre de la troisième révolution industrielle, comment construire les nouveaux modèles économiques, comment construire de nouveaux instruments financiers qui permettent justement de tenir compte de cette relative rareté quoique des fonds publiques existants mais plutôt de financer cette transition énergétique et écologique grâce aux économies d’énergies et grâce à une économie plus circulaire.
On pourrait parler de l’investissement participatif et citoyen qui est entrain de se développer sur une multitude de sujets concernant les économies d’énergies, les énergies renouvelables par exemple parce qu’il y a de l’emploi à la clé, énormément d’emplois. On assiste à une myriade de nouveaux instruments financiers. La fiscalité énergétique, le coût de la tonne de carbone et l’investissement participatif sont trois exemples, il y en a d’autres. C’est vrai que actuellement le prix de la tonne de carbone n’est pas encore très élevé. Toutefois les perspectives et les souhaits des pouvoirs publics sont d’accroître le prix de cette tonne de carbone, mais ce n’est pas suffisant.